Parfois, hésitant, à tes côtés je m’assois,
Déposant contre la joue qu’alors tu me tends,
Non pas ma joue, mais un baiser bien impudent.
Mais toi, tu ne me vois.
Parfois, obnubilé, je me tourne vers toi,
Tentant de croiser, cinq secondes, ton regard,
Tout en le rompant avant qu’il ne soit trop tard.
Mais toi, tu ne me vois.
Parfois, séduit par la finesse de tes doigts,
Je pense à les saisir et, religieusement,
A les porter au plus près de mon cœur aimant.
Mais toi, tu ne me vois.
Parfois, bien attristé, je me tourne vers toi,
Espérant alors recevoir de mon aimée
Un regard, un mot, un sourire ou un baiser,
Mais toi, tu ne me vois.
Parfois, chevaleresquement, croyant en moi,
J’exprime partiellement mes sentiments,
Étant de plus en plus direct au fil du temps.
Mais toi, tu ne me vois.
Parfois j’écris donc des poèmes maladroits,
En pensant, si fatalement, à cette fille
Qui a conquis mon cœur, mon âme et mon esprit.
Mon amie, je suis là, est-ce que tu me vois?
Déposant contre la joue qu’alors tu me tends,
Non pas ma joue, mais un baiser bien impudent.
Mais toi, tu ne me vois.
Parfois, obnubilé, je me tourne vers toi,
Tentant de croiser, cinq secondes, ton regard,
Tout en le rompant avant qu’il ne soit trop tard.
Mais toi, tu ne me vois.
Parfois, séduit par la finesse de tes doigts,
Je pense à les saisir et, religieusement,
A les porter au plus près de mon cœur aimant.
Mais toi, tu ne me vois.
Parfois, bien attristé, je me tourne vers toi,
Espérant alors recevoir de mon aimée
Un regard, un mot, un sourire ou un baiser,
Mais toi, tu ne me vois.
Parfois, chevaleresquement, croyant en moi,
J’exprime partiellement mes sentiments,
Étant de plus en plus direct au fil du temps.
Mais toi, tu ne me vois.
Parfois j’écris donc des poèmes maladroits,
En pensant, si fatalement, à cette fille
Qui a conquis mon cœur, mon âme et mon esprit.
Mon amie, je suis là, est-ce que tu me vois?