La guerre ne meurt jamais ; vive la guerre !
Cette phrase est un ordre gravé sur la pierre !
Car les hommes ont semés dans les champs,
De ce monde condamné, le triste goût du sang.
La guerre est un poison alléchant ;
Qui nourrit l’âme humaine depuis bien longtemps,
La guerre ici-bas interdit la paix…
Et l’avarice humaine de nombreux fait.
L’homme est un prédateur souverain et suprême ;
Mais son égocentrisme à l’apocalypse mène.
Il est selon lui le seul être pensant,
Et seul, dans ce monde, l’enfant reste innocent.
La guerre est, de ce monde, le suave élixir ;
Et elle reste, ici-bas, un ardent désir ;
Car l’homme n’est qu’un monstre de sauvagerie.
Et dans la nuit profonde, la Nature crie.
L’homme a, néanmoins, le contrôle du monde.
Il ne crée pas la vie mais dans l’abîme profonde :
La Mort est un squelette tenant une noire faux,
Où git à ses pieds la Vie, telle une flaque d’eau.
On aura beau crier et hurler contre la famine,
L’humanité n’en restera pas moins une vermine…
Ne voyez-vous donc pas ce soleil éclatant ?
Ne voyez-vous donc pas la Mort triomphant ?
Oui, la guerre ne meurt jamais !
Est-ce une prophétie, est-ce la fin de la vie ?
Cette phrase est un appât qui donne la mort mais
Toujours dans ce monde, sincère, un enfant rit.
Car on le sait tous, la guerre c’est la perversion ;
Et que l’enfant à l’âme immaculé de damnation,
Car l’enfance, c’est la belle innocence…
Et le meilleur baume humain est encore l’ignorance.
Ainsi, la guerre ne mourra jamais,
Car l’être humain ne changera pas avec les faits.
Et dans ce monde souillé aux pauvres hères damnés…
Quelque part sur Terre à chaque instant un homme est tué.
Loin de là, dans un berceau de tendresse,
La Vérité révèle sa détresse, offre sa tristesse,
Et à un enfant est donné bien trop tôt :
La fin de l’ignorance qu’apportent les mots.
La Vérité n’est pas éclatante et belle ;
Mais la Vie, elle-même, est cruelle ;
Ainsi, la guerre mourra un jour,
Car l’humanité vers la mort court…
Cette phrase est un ordre gravé sur la pierre !
Car les hommes ont semés dans les champs,
De ce monde condamné, le triste goût du sang.
La guerre est un poison alléchant ;
Qui nourrit l’âme humaine depuis bien longtemps,
La guerre ici-bas interdit la paix…
Et l’avarice humaine de nombreux fait.
L’homme est un prédateur souverain et suprême ;
Mais son égocentrisme à l’apocalypse mène.
Il est selon lui le seul être pensant,
Et seul, dans ce monde, l’enfant reste innocent.
La guerre est, de ce monde, le suave élixir ;
Et elle reste, ici-bas, un ardent désir ;
Car l’homme n’est qu’un monstre de sauvagerie.
Et dans la nuit profonde, la Nature crie.
L’homme a, néanmoins, le contrôle du monde.
Il ne crée pas la vie mais dans l’abîme profonde :
La Mort est un squelette tenant une noire faux,
Où git à ses pieds la Vie, telle une flaque d’eau.
On aura beau crier et hurler contre la famine,
L’humanité n’en restera pas moins une vermine…
Ne voyez-vous donc pas ce soleil éclatant ?
Ne voyez-vous donc pas la Mort triomphant ?
Oui, la guerre ne meurt jamais !
Est-ce une prophétie, est-ce la fin de la vie ?
Cette phrase est un appât qui donne la mort mais
Toujours dans ce monde, sincère, un enfant rit.
Car on le sait tous, la guerre c’est la perversion ;
Et que l’enfant à l’âme immaculé de damnation,
Car l’enfance, c’est la belle innocence…
Et le meilleur baume humain est encore l’ignorance.
Ainsi, la guerre ne mourra jamais,
Car l’être humain ne changera pas avec les faits.
Et dans ce monde souillé aux pauvres hères damnés…
Quelque part sur Terre à chaque instant un homme est tué.
Loin de là, dans un berceau de tendresse,
La Vérité révèle sa détresse, offre sa tristesse,
Et à un enfant est donné bien trop tôt :
La fin de l’ignorance qu’apportent les mots.
La Vérité n’est pas éclatante et belle ;
Mais la Vie, elle-même, est cruelle ;
Ainsi, la guerre mourra un jour,
Car l’humanité vers la mort court…